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vendredi 6 avril 2018

Piste trigonométrique de la quadratrice horizontale croissante

Les approches classiques de la quadratrice étant goniométriques, la quadrature du cercle et la trisection de l'angle, il aurait été chimérique, Don Quichotte, de me baser là-dessus pour en faire l'analyse. C'est pourquoi j'avais d'abord misé sur une piste mixte, trigonométrique en même temps, car les deux se conjuguent.

À quelle trigonométrie correspond la quadratrice? C'était d'abord la question que je devais répondre. Comme ça ressemblait beaucoup à celle de l'angle double, j'ai travaillé beaucoup là-dessus, pour finalement la relier avec le rapport de l'angle avec son complémentaire, ce qui correspond, ou est équivalent, à une tangente au carré. De là, par leur rectification, chacun multiplié par 2PI, j'ai vu que ça correspondait à une structure justement trigonométrico-goniométrique. La tangente au carré en cause était donc bien celle de l'angle double.

De là, le sinus de l'angle double étant 2 fois le sinus cosinus, j'ai étudié les surfaces trigonométriques, pour voir si leur algèbre pouvait correspondre à celle de la quadratrice, quelque part. J'y suis arrivé d'une certaine façon, mais pas à ma satisfaction, car c'était assez compliqué, et j'en ai déduit que c'était probablement là une analyse plus poussée d'une géométrie d'abord simple.

Mais la relation connue avec l'angle double était suffisante pour pouvoir en faire une analyse strictement trigonométrique, maintenant. Le rang d'un système, i.e. tous ses triangles multipliés par la même fonction, me rebutait beaucoup, et j'ai plutôt essayé de voir si ça ne s'appliquerait pas, par hasard, seulement au triangle de la quadratrice.

Effectivement, j'ai trouvé de quoi il s'agissait: c'était le permuté de l'apposé qui ne faisait que l'homothétie de l'asymptote. Dans ma géométrie, a, l'asymptote, est l'autre angle qui la compose, avec t, l'angle propre de la trigonométrie classique. Celle de a est faite en lettres majuscules, sous radical, comme V½ pour la tangente, par exemple, qui est le radical de l'ordre de mon sinus, le plus utilisé avec lui.

En sinus, je fais une mécanique circulaire avec g, l'angle central secondaire. L'apposé, lui, est une mécanique hyperbolique à partir de la tangente de t, lu sur les deux coordonnées, sin sur l'une, et cos sur l'autre, plutôt que sur une seule. Le sinus de g, V½ s, lui, demeure le même, mais il se rapporte maintenant au cos t plutôt qu'à 1, ce en tangente comme t lui-même. Ce n'est donc plus g comme tel, mais hc1/V, l'hyperbolique du circulaire contre-combiné, qui devient l'angle central secondaire de t en apposé.

L'ordre, V, lui, demeure le même, et son radical se lit toujours sur une seule coordonnée, car il ne se rapporte toujours qu'à 1. Donc, si je permute l'angle central avec l'a, ce qui est dit permuté, V½ va avoir besoin d'une béquille pour être de même niveau que V½ s, qui est sur le cosinus, sur l'autre coordonnée. Cette béquille est donc le cos lui-même, et multiplie, par le fait mème, tous les autres côtés de l'a, désormais angle central à son tour. Ce qui est l'homothétie, le triangle de l'a est réduit par un rang plus petit que 1, cos.

Je devrais écrire le cos, (1-s²)½, mais on comprend bien de quoi il s'agit quand même, quand s est le guide circulaire. C'est plus court, et plus pratique.

Ainsi, l'asymptote pourrait donc être un permuté d'apposé. Je ne vois pas d'autre possibilité en mécanique de base, les autres cas de béquille étant en algèbre plus compliquée, comme dans un système avec rang - qui n'est pas homothétique. Un rang système ne multiplie que 2 guides ou 2 variables à la fois, sans multiplier les triangles auxquels ils appartiennent, c'est dans ce sens que je dis qu'il n'est pas homothétique. Par contre, le rang homothétique, lui, je l'appelle rang de portée, car il fait agrandir le ou les triangles en cause sur la portée, comme sur une une portée musicale: changement proportionnel de ligne et de colonne.

Donc, c'est pour montrer que le permuté d'apposé est le cas le plus simple à quoi peut correspondre la quadratrice, qui a besoin d'une béquille.

L'ÉTAPE ET LE SYSTÈME ASYMPTOTIQUE DÉDUIT

De là, connaissant donc le système auquel il appartient, l'aspect goniométrique n'avait plus d'importance, il pouvait être mis de côté. L'analyse pouvait être strictement trigonométrique, maintenant.

J'ai d'abord essayé le rang système, où les 2 guides centraux sont multipliés par la même fonction. Ça fonctionne, mais l'algèbre en cause doit se subdiviser pour y comprendre quelque chose. J'ai compris alors qu'une étape devait être considérée.

Dans la rotation d'un système, il y a une variable qui tourne pendant que l'autre est fixe. Quand un événement se passe, comme quand 2 angles se rencontrent, on peut calculer l'étape où ça s'est produit par l'équation de la variable mobile en variable fixe. Ce qui est comme une fonction, mais comme ce n'est qu'une étape en cours de chemin, la variable mobile peut continuer son chemin jusqu'à une autre. C'est comme l'analyse classique, mais c'est pour expliquer un peu les termes que j'emploie, qui peuvent être différents.

J'ai constaté que r fois s, le rang par le sin, était une étape, car il s'agit d'une fonction sur ce sinus. Quand cette fonction est égale au sin, le rang égal donc 1, et différemment lorsqu'il n'y pas égalité. J'avais donc bien là affaire avec une étape, mais que je devais encore subdiviser, car elle comprend aussi le nouveau sinus de port - qu'on va appeler néo-port pour ne pas se mêler avec celui d'origine.

Le port est l'angle auquel se rapportent les combinés. C'est g(1+V), le g à l'ordre supérieur d'une unité, mais c'est plus simple de le surnommer port, et son triangle portail, par extension, les combinés y étant attachés, comme dans un vrai havre, par analogie.

Ce sur quoi est le sin du néo-port pour constituer l'étape, c'est (1+V)½, le radical de l'ordre du port. En mettant donc les guides centraux du circulaire à un rang, dont se déduisent par la suite l'apposé et le permuté propres, on crée, en fait, un nouveau système composé strictement de l'algèbre de ce rang, visible dès qu'il n'égale plus 1, i.e. quand la variable mobile continue son chemin, ou qu'on permute les rôles mobile et fixe des variables, ce qui est dit revers-mécanique, et que ce soit l'autre qui le fasse.

On a donc 2 systèmes, celui de l'étape en cause s'étant rajouté, sans du tout abolir l'autre, l'original, ce qui ne se voit pas du tout dans les fonctions courantes de la géométrie classique ou contemporaine, seules au monde, mais qui existe bel et bien, survit, devrait-on peut-être plutôt dire. C'est la raison principale de la difficulté de les analyser, l'origine ayant disparue. C'est le cas de la quadratrice, notamment, laquelle, comme toutes les fonctions polaires, sont seules au monde, dans la documentation, comme si elles ne venaient de nulle part. C'est le vide, justement, que j'essaie de combler.

IMMIXTION DU SYSTÈME CARTÉSIEN

Le guide secondaire, V½ s, au rang, r (V½ s), est égal à V½ fois l'étape, V½ (rs), mais cette dernière étant égale au sin du néo-port sur (1+V)½, il est égal à I½ fois le sin du port, I½ sin port, puisque V/(1+V) est égal à I, le sinus au carré de a. Or, I½ fois un sinus, c'est le guide secondaire du système cartésien à un rang système, lequel doit aussi multiplier soit s, qui est commun avec le système euclidien qu'on utilise, soit g cartésien.

Mais comme s a déjà son rang propre, il ne peut donc s'agir que du g cartésien, ce qui est alors un rang central, rt, donc, signifiant qu'il laisse invariant l'angle central, t. Le rang qu'on utilise dans le système euclidien, lui,  que j'avais seulement appelé r, pour simplifier parce qu'il était seul et qu'on savait déjà qu'il multipliait les guides centraux, est dit ra, parce qu'il laisse invariant a, l'asymptote. Avec maintenant le système cartésien, on peut dire rt cartésien et ra euclidien, mais comme il n'y a pas de rt euclidien ni ra cartésien en plus, on peut simplifier en rt et ra, sachant de quoi il s'agit. à quel système chacun se rapporte.

Le système euclidien est le produit des variables, V½ s, vu comme guide secondaire, le sinus de g, alors que le système cartésien est leur rapport, mais pas avec le même guide trigonométrique de l'a. C'est I½, son sinus, plutôt que V½, sa tangente: I½ sur s, I½/s, la tangente de g, vue comme guide asymptotique principal. Les guides asymptotiques ne sont pas visibles comme les guides centraux, puisque seulement leur algèbre est utilisée. Et réciproquement, les rôles changent quand il y a permutation entre eux.

Puisque ra (V½ s) = V½ (sin néo-port / (1+V)½) = I½ sin néo-port, on peut donc dire que le sinus du néo-port est le rang cartésien en cause: sin néo-port = rt, et qu'on peut changer l'algèbre euclidienne de 1/(1+V) en celle cartésienne, J, (1-I)½, le cosinus de l'a cartésienne (qui est la même asymptote que celle euclidienne mais dénommée par un guide trigonométrique différent). Mon ensemble de systèmes euclidien est donc maintenant guidé par un système cartésien muni d'un rang, rt. On a exactement les mêmes affaires, mais rt égalant le sinus du nouveau port, on peut désormais les interpréter comme une rencontre entre 2 systèmes, l'euclidien avec le cartésien, dont le moment d'égalité en crée un autre, de type euclidien, que l'on peut voir lorsqu'ils se séparent. Ce qui fait 3 systèmes en tout, alors qu'il n'en résultait que 2 avec le simple système de l'étape euclidienne. Les avantages sont considérables: c'est une géométrie bien supérieure.

C'est ce que je montre dans le dessin que j'ai préparé:

Quadratrice: Permuté de l'apposé de s décalé sur sa portée, dans un tri-système issu de la rencontre avec le cartésien


Les lignes noires montrent le système cartésien, qu'on peut appeler le moteur du tri-système: quand il tourne, tous les autres sont entraînés. Les bleues sont celles du système euclidien, et les vertes dévoilent le néo-cartésien qui est créé.

Les lignes beiges et rouges font partie de l'apposé du permuté du néo-port, parce qu'il le fait avec s décalé sur sa portée euclidienne: la partie supérieure, en beige, est l'apposé comme tel, alors que la partie inférieure est une décomposition de s décalé sur sa portée euclidienne originale, conservant sa relation avec l'asymptote, dont il peut autant faire un permuté d'apposé avec. C'est ce qui est le système de la quadratrice, en posant

rt = (8a(1-2a))½

où a est l'angle central (en tant que permuté avec t décalé). L'angle a demeure invariant au décalage sur la portée initiale cartésienne, mais sa béquille, elle, est décalée, tout comme cos auquel se rapportait s, mais maintenant au cos du néo-port,

(1-r²t)½ = (1-8a(1-2a))½ = 1-4a

désormais.

Le système en rouge est donc celui de la quadratrice, dont le triangle est coloré en gris. Avec le g euclidien décalé, qui pointe au bout du triangle vert, à gauche du rectangle rose, il trace un système hyperbolique, à la même hauteur, ce qu'indiquent les rectangles de couleur, en vert et rose.

Les triangles jaunes, en haut, montrent le décalage des guides euclidiens originaux, s et (V½ s) sur leur portée.

Les distances sur le schéma sont exactes, bien calculées, pour voir les bonnes proportions, comme dans un dessin technique avec de vraies courbes. La couleur des lignes est bien rendue, ainsi que celle des triangles et rectangles.

Seul l'angle a est indiqué sur mon dessin, car il est le plus important. Pour les autres, je n'avais pas de place, mais la mention des systèmes et structures par les couleurs y compensent suffisamment. De toute façon, les angles, dans ma géométrie, sont assez compliqués, et demeurent un mystère avant que je ne l'aie théorisée publiquement. En attendant, je donne des explications autant que je peux, à la pièce.

Notamment, mes angles sont des fractions: 1/4 de tour pour 90°, que j'appelle l, mais qui n'est pas mentionné dans mon dessin, ici, parce que mes angles ne sont pas écrits, à part de a. 1/8, c'est 45°, etc.. Ainsi, a se lit en fraction pour faire l'équation de la quadratrice: ce n'est pas différent de l'équation polaire classique de traçage. Car dire radian sur 2PI, c'est ce qui est l'angle en fraction lui-même.

L'utilisation des radians est très mêlante dans les ouvrages scientifiques, car c'est aussi une tangente, ou cotangente, dans le sens de rectification du cercle. Alors, même s'ils écrivent alpha radians / 2PI, on ne peut pas savoir plus s'il s'agit d'un angle fraction ou d'une tangente fractionnée. C'est pourquoi je n'utilise pas du tout les radians dans ma géométrie, tant pour les angles que pour les tangentes. Les angles sont nommés tels, en tant que fractions, et les tangentes sont appelées telles, pas des 2PI ceci ou celà, à part quand ce sont réellement des rectifications, ou dérectifiées, selon le cas. Mais je précise toujours la nature trigonométrique ou goniométrique des grandeurs quand je dois utiliser PI, en évitant le terme radian, autant que possible, ce qui n'est cependant pas toujours possible quand on analyse des courbes qui l'utilisent dans les publications.

C'est pourquoi il m'a été très difficile de comprendre la nature exacte de l'équation de la quadratrice, au début, toujours écrite strictement en radians, alors que c'est en fait un angle fraction dont il s'agit, un radian sur 2PI, pas toujours spécifié dans la documentation. Ici, c'est clair: a est une fraction qui évolue vers 1/4, le 90°. C'est ça la quadratrice, avec sa tangente qui est multipliée par (1-4a), qui est (1-r²t)½, le cosinus du port du néo-euclidien, sur mon dessin, en tant que béquille décalée - pas en tant que nouvelle tangente, ce qui serait un rang système, ce qui n'est pas le cas. Sa tangente reste la même, elle est multipliée par un rang de portée, qui multiplie tout autant sa sécante, pour diminuer son triangle, homothétiquement. C'est un rang homothétique du triangle, seulement pour le sien, pas celui des autres.

COMMENT ÇA TOURNE?

Notre théorisation est toujours mécanique, au départ, tant au cartésien qu'à l'euclidien: t est fixe, alors que c'est a qui tourne. C'est comme ça qu'est fait le schéma. pour que, quand l'asymptote tourne, la quadratrice soit tracée.

Le revers-mécanique, lui, c'est l'opposé, le contraire: a va se fixer, et c'est t qui va tourner à son tour. Ainsi, la pointe du triangle de l'asymptote homothétique demeure sur la quadratrice pendant que tous les autres angles de son système tournent différemment, en attendant.

Jamais les 2 variables, trigonométrique et asymptotique, ne vont tourner en même temps. C'est fait pour que, quand l'une tourne, l'autre doit être au repos. Ce n'est pas une limite de ma géométrie, car d'autres variables peuvent être rajoutées au besoin, comme s2 avec V2, par exemple, autant qu'on en aurait besoin. Ainsi, mon système mécanique de base pourrait fonctionner avec un autre qui serait, lui, revers-mécanique: V qui tourne avec s2, pendant que s et V2 sont fixes.

RÉSURGENCE DE LA PISTE GONIOMÉTRIQUE

La structure ainsi donnée de la signification trigonométrique de la quadratrice remet sur le tapis la pertinence de la piste goniométrique, car on en sait plus, et des questions en suspens s'éclaircissent. Bien qu'il ne s'agisse pas de la quadrature du cercle ou de la trisection de l'angle comme tel, ma géométrie permet d'envisager d'autres structures goniométriques tout aussi pertinentes, qui seraient faisables, en les reliant à celle trigonométrique ici déjà bien théorisée.

En effet, car il ne me manquait que quelques petits détails théoriques et techniques pour y arriver. Il fallait cependant bien comprendre l'aspect trigonométrique, ce qui me donne les outils nécessaires à poursuivre les recherches en ce sens.

Ce qui vaut aussi pour les savants qui comprennent ce dont je parle, et qui pourraient tout autant faire le lien. C'est surtout pour ça que l'on publie, d'ailleurs.


mercredi 18 février 2015

Équation de la quadratrice en sinus

L'équation polaire de la quadratrice étant la plus simple qui soit, savoir d'où elle vient et où elle va est difficile à savoir. Il manque des éléments pour la faire et la compléter adéquatement, la comprendre, l'expliquer.

C'est une belle courbe, mystérieuse et très ancienne. Il est surprenant qu'il n'y ait pratiquement pas d'étude sérieuse sur elle depuis tout ce temps, du moins ce qu'on peut trouver sur internet. Aucune autre équation n'existe que celle polaire, et sa conversion cartésienne élémentaire.

Elle est difficile, c'est sûr. Je l'ai étudiée tout en théorisant ma géométrie, la mécanique hyperbolique algébrique. Elle m'a permis de compléter tous les principaux aspects techniques et fondamentaux de son fonctionnement, qui en fait aujourd'hui une géométrie fonctionnelle sur tous les plans. Mais la quadratrice, je n'arrivais toujours pas à décoder son mystère.

Mais j'ai trouvé, finalement, aujourd'hui. Je peux voir maintenant pourquoi elle était difficile. En sinus, elle est au 2e quadrant, et elle exige 2 équations. Une première pour se mettre à l'échelle du radian, avec lequel elle est faite. Puis, la deuxième résulte d'un point de rencontre entre 2 angles, ce qui crée la quadratrice, sa formule exacte, complète, après la première équation.

Dans ma géométrie, les équations sont des ordres, mais ils n'ont pas le même sens qu'en géométrie classique, en parlant des courbes ou équations de tel ordre. Ce n'est pas la même chose. Par exemple, les ellipses et les hyperboles ont un ordre fixe, alors que les autres courbes ont des ordres mobiles, i.e. des fonctions, et ça les définie complètement. Il peut y en avoir une ou plusieurs.

Ainsi, dans le cas de la quadratrice, elle comporte 2 ordres, celui par défaut, en premier, et puis un autre supplémentaire, dont on a besoin, pour compléter toute sa trigonométrie et goniométrie, exactement. Ça fait partie de sa complexité, sa nature.

J'ai fait un schéma pour démontrer le déroulement de son équation, tel que je l'ai théorisé aujourd'hui.


Équation de la quadratrice en sinus
Ce premier dessin comporte une erreur théorique. 
Voir correction ci-dessous.


Dessin corrigé:

Quadratrice en sinus

Équation de la quadratrice en sinus
Dessin corrigé le 1er mars courant.
Voir explication dans la mise-à-jour. 
Caduc aussi, contient des erreurs.
Remplacé par correction du 4 mars, ci-après.

 
Dessin recorrigé

Quadratrice en sinus

Équation de la quadratrice en sinus
2e correction, 4 mars 2015
Voir explication dans la mise-à-jour de cette date 


Mise-à-jour du dessin


Duplication de la quadratrice au 1er quadrant,
sur axe fixe, sa position finale, 
mais avant la transcription de l'algèbre polaire
en celle de la mécanique hyperbolique algébrique,
qui fera toute la différence.
Voir la Mise-à-jour du texte au 28 mars pour explication. 


Dessin: mise-à-jour du 13 mai
 

Quadratrice en sinus
Mise-à-jour, 13 mai 2015 
Mécanique co-variable  en cosinus
La quadratrice est un combiné co-variable en cosinus
Le dessin montre le rajout de son angle central,
en rouge,
construit à l'aide de la petite rallonge, 
colorée en beige.
Voir explication dans la mise-à-jour du texte, au 13 mai.  

C'est un début. Si j'avais fait une courbe avec son équation, ça aurait été incompréhensible. C'est pourquoi je préfère présenter d'abord la construction de son algèbre. Après, avec les courbes, ce sera plus compréhensible.

Dans ma géométrie, une courbe n'est jamais seule. Elle fait partie d'un tableau qui en comprend six, mais ce n'est pas tout. Il y a des tableaux connexes, ainsi que d'autres ensembles de tableaux qui peuvent être en relation, aussi. Tout est connecté, il n'y a pas de limite à la connectivité d'une courbe avec d'autres, dans ma géométrie.

Donc, l'ampleur que peut avoir la vraie algèbre de la quadratrice est incalculable. On peut y voir toutes sortes de connexions avec d'autres courbes. C'est très intéressant.

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Mise-à-jour, 1er mars 2015

Correction du dessin

J'ai corrigé le dessin original suite au calcul qui n'arrivait pas, et après avoir remanié ma théorie.

Le principe était bon, soit la transformation de l'angle central secondaire g1+V-l en fonction au 2e quadrant, sauf que ce n'était pas la bonne, un combiné plutôt qu'un contre-combiné, comme je l'ai découvert en théorisant de façon toute nouvelle cette rencontre entre 2 angles, un niveau de connaissance que je n'avais pas encore acquis, pensant que ce que je savais déjà suffisait, ce qui n'était pas le cas.

Cette nouvelle théorie s'applique au rang d'un système, comme c'est le cas dans les équations polaires, qui n'est qu'un cas particulier: la trigonométrie d'une courbe est multipliée par un rang dont on ne voit que le résultat, et, dans le cas d'une équation polaire, par exemple, on n'a qu'à multiplier la tangente et la sécante par ce résultat pour avoir les dimensions complètes du triangle qui trace la courbe. Dans ma théorie, ce raccourci n'existe pas car il n'est pas nécessaire. Les 3 côtés du triangle sont complètement différents, il n'y a pas de complétude trigonométrique par un rang.

C'est une vraie formule, plutôt, celle d'un contre-combiné, une fonction secondaire dans ma géométrie. Même son angle est défini exactement, ce qui est absolument impossible en équation polaire classique: c'est le c1/(Vr²t)-l quand r²t, d'abord, puis V, ont été définis, tel que démontré sur le dessin.

Dans le dessin, il y a 2 types d'algèbres, la mienne, que j'écris en premier dans les 2 équations, et ce à quoi elle correspond dans celle de l'équation polaire de la quadratrice, par le signe égal (=). Autrement dit, c'est un peu comme une traduction. J'ai les termes de l'équation polaire, et je les exprime dans dans mon algèbre, ce qu'ils signifient en mécanique hyperbolique algébrique.

Donc, ma théorie est plus large que la traduction, ou l'interprétation, d'une équation polaire, elle comprend tous les types de rangs. C'est dans ce cadre plus large que s'inscrit la quadratrice, comme équation polaire, en particulier. Il y a rencontre entre 2 angles, un central secondaire avec un contre-combiné issu de la mise au rang du premier. Par ce rang, l'angle central secondaire, avec tout son tableau, monte sur la portée du contre-combiné et se définit par le tableau de ce dernier. Un tableau est l'ensemble des angles qui forme un système, il y en a 6 (six). Ainsi, si l'angle original, ici le central secondaire, a une équation propre dans son tableau, il n'a plus la même dans le tableau sur lequel il est reporté, là le contre-combiné de rang (muni d'un rang). Seulement le fait de lui donner un rang change tout, sa trigonométrie et sa courbe, ce que l'on sait, mais aussi l'angle, même s'il est pareil (le rang ne modifiant pas l'angle), car, dans ma géométrie, un angle tient compte du rang et l'inclut dans sa définition. De cette façon, toute courbe a un angle qui lui est propre, même s'il a la même grandeur que celui d'une autre courbe.

Dans un autre article, mon dessin sera plus avancé, basé sur la démonstration que j'ai fait ici, ce qui sera moins difficile à comprendre pour qui s'y réfère. Pour ce qui est de la théorie, encore nouvelle, sur laquelle elle est basée, c'est comme mes autres découvertes, je la rendrai publique plus tard, quand ce sera le moment. Mais c'est sûr qu'en attendant, une bonne idée lui est donnée par cet exemple de la quadratrice.

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 Mise-à-jour, 4 mars 2015

Recorrection du dessin

Le principe de la rencontre de 2 angles pour faire une équation n'était pas bon, car ce n'était qu'un point de rencontre dans l'évolution de la courbe. L'équation était déjà là sans avoir besoin d'une quelconque rencontre entre 2 angles. C'est la difficulté du rang, d'un autre cycle, qui m'avait fait pensé à celà, n'étant pas encore habitué à l'algébrétiser correctement, en faire la rotation adéquate. Maintenant c'est fait, je sais bien comment faire.

Donc, l'angle de rencontre était bon, mais seulement sur le plan technique, dans l'évolution de la courbe, pour connaître une valeur à un moment donné. Je n'en avais pas besoin, le reste de l'architecture restant bon, je lai donc enlevé. Il s'agissait de comprendre l'algèbre de rotation de rotation comme il faut, le rang étant d'un autre cycle que celui de l'angle central, ce qui était plus difficile. Ce problème est maintenant réglé. Je vais pouvoir continuer correctement dans un autre article, avec un dessin plus évolué.

Ce rang étant de 3e quadrant, le reste de l'architecture de la nouvelle portée s'y trouve également, ce qui n'apparaît pas dans le 2 premiers quadrants du dessin, mais ce n'est pas essentiel comme tel, mon modèle ne servant qu'à montrer le montage, pour le moment. L'essentiel y est.
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Maintenant, je voudrais expliquer un peu plus Qrt, n'ayant pas assez de place dans le dessin. Dans ma géométrie, la rotation des angles se fait sur 3 ou 4 quadrants, il faut donc distinguer entre une trigonométrie synchrone et une autre évolutive.

Par exemple, si je dis que rt est une tangente au 1er quadrant, mais qu'il est maintenant un cosinus au 3e, je dois utiliser une notation qualitative pour souligner cette évolution, sans celà ce ne serait que le cosinus du même angle au 1er quadrant, et mon algèbre serait défaillante.

J'ai donc utilisé les lettres N, O, P et Q pour qualifier cette évolution. Elles correspondent aux 4 échelons que suivent tous mes guides trigonométriques. Dans le cas de la tangente, c'est:
tg, tg>1, coséc et cos
Donc, Ntg, Otg, Ptg  et Qtg correspond à cette évolution, de même que rt, en lieu et place de tg, comme tangente aussi. N est sous-entendu par défaut, mais utilisé lorsque nécessaire.

Ainsi, Qrt signifie que rt est devenu un cosinus au 3e quadrant, depuis le 1er, dans sa rotation évolutive propre.
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Pour ce qui est de la trigonométrie polaire qui est toujours présente dans mon dessin, et donc pas différente de l'équation polaire comme telle, c'est normal, car nous venons de monter le système avec un rang. C'est à ce niveau que se situe justement l'équation polaire, mais ma géométrie va plus loin que celà. Après le montage, une algèbre mécanique (de la mécanique hyperbolique algébrique) remplace l'algèbre polaire pour faire la rotation et les tableaux adéquatement.

En effet, l'algèbre polaire n'indique pas comment ça tourne ni l'endroit où se trouve la courbe. Mais j'ai déjà une idée, dans ma géométrie, en sachant quelle sorte de rang est utilisé, s'il croît ou décroît, etc.. C'est pourquoi j'ai pu dessiner ce schéma en sinus, dans un premier temps: je sais que la courbe est au 2e quadrant, quel est le genre de rang, etc.. Avec ça, je pourrai maintenant convertir cette algèbre polaire dans mon algèbre mécanique, voir comment ça tourne, identifier les étapes d'évolution, les intervalles, les points de rencontre, etc..

Avec l'algèbre mécanique, tout est possible, et c'est ce que nous allons voir dans les prochains dessins, dans d'autres d'articles - même si je me trompe un peu quelquefois, mais c'est dans le contexte où je théorise en même temps ma géométrie, qui est toujours un peu difficile aux frontières de l'inconnu. Je me corrige continuellement, donc rien n'est faux comme tel, ici. Tout est vérifié, et toujours théorisé avant.

C'est dans la pratique que la théorie peut s'avérer inadéquate ou insuffisante, c'est pourquoi des petits ajustements deviennent nécessaires, à ce moment là. Après ça on peut continuer, comme c'est le cas ici, après avoir repris 2 fois mon dessin..

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Mise-à-jour, 28 mars 2015 

Mise-à-jour du dessin

L'architecture exacte est maintenant connue. C'est une découverte d'aujourd'hui, ce qui explique la mise-à-jour du dessin.

Il y a 4 portées successives, toutes en sinus, pour en arriver à la quadratrice:

- la 1ère est celle du système en sinus comme tel

- la 2e est celle de l'ordre 1+V, toujours avec le sinus de l'angle central t, en lieu et place de V

- la 3e, celle au rang asymptotique Qrt (qui est un rang central mais recombiné après repermutation)

- et la 4e est celle qui définie g(1+V), l'angle de la quadratrice, comme un combiné, relativement à l'angle central secondaire de la portée précédente.

Ici, mon dessin étant démonstratif, la simplicité de l'équation polaire est gardée, et donc dans cette mise-à-jour également, pour montrer la position finale que prendra la quadratrice, en cette 4e portée, soit au 1er quadrant, dupliquée du 2e (l'anle g(1+V)). Cependant, hors la démonstration, dans un autre article, la quadratrice prendra l'algèbre de la mécanique hyperbolique algébrique, qui a le même résultat que celle polaire, mais pas du tout la même signification.

Dans l'équation polaire classique, la seule signification est d'être en radian, ce que j'ai décomposé adéquatement dans ma démonstration, ici, lui donnant une vraie signification algébrique, dans ma géométrie. Mais ça n'a pas encore changé l'équation polaire, comme telle. Toutefois, cette décomposition permet de comprendre dans quelle architecture se situe la quadratrice, et dans quels portée et tableau elle appartient, exactement, après étude, ce que j'ai fait.

La portée est un peu comme une portée musicale, où on a 2 lignes, celles des guides des angles centraux. Le guide, c'est la trigonométrie principale, ici le sinus, donc chaque sinus des angles centraux a sa propre hauteur, composant donc une ligne chaque. Les combinés s'alignent derrière ces angles centraux, à la même hauteur, respectivement. Ensemble, ces angles forment un tableau, mais au-delà de ces combinés se trouvent aussi d'autres combinés à des ordres supérieurs, toujours sur la même portée. Celà se produit aussi devant les angles centraux, à partir des combinés opposés, hyperboliques, aussi loin que l'on veut. Donc, la portée est infinie comme tel, à gauche et à droite des angles centraux, mais elle existe aussi en sens inverse, de l'autre côté du cercle (donc pas un retour sur lui-même),quand l'ordre en cause (l'initial ou l'augmenté) passe à un autre cycle, après avoir atteint l'infini.

Donc, si la portée apparaît linéairement sur un seul quadrant, elle tourne en fait tout autour du centre de rotation, fixe. Un système comprend plusieurs tableaux, dans sa rotation totale, qui vont définir dans quel intervalle se situe telle courbe que l'on étudie, chaque tableau en étant un.

C'est ainsi que la quadratrice a pu être localisée au 1er quadrant, exactement, sur la 4e portée successive. Et elle a une algèbre exacte, par conséquent, complètement différente de l'équation polaire, mais traçant la même courbe, quand même.

Dans un prochain dessin, sur un autre article, l'angle g(1+V), au 2e quadrant, sera ramené à sa position normale, sur l'axe vertical fixe, il était ici décalé un peu, pour la démonstration. Et puis, "Qrt" va changer de nom, en "ra". Ces 2 modifications ne sont toutefois que techniques, elles ne changeront pas la signification de la démonstration, qui restera la même pour le vrai dessin. La continuité ne sera pas brisée du tout, en convertissant de l'un à l'autre, ces petits détails.

Il me reste des tableaux à compléter, dans ma théorie sur papier. Quand ce sera prêt, je pourrai définir exactement ce qu'est la quadratrice en sinus, avec son environnement immédiat et un peu plus loin, dans le cadre de l'architecture de son système, les autres courbes qui l'accompagnent. C'est l'algèbre exacte, qui est importante, ce que je donnerai, avec un schéma de courbe, en attendant les courbes exactes, ce qui est plus difficile pour moi, mais avec la trigonométrie, quelqu'un qui connaît un peu ça peut les tracer lui-même. C'est pourquoi l'algèbre exacte, la trigonométrie, est importante, pour tracer suivant celle qu'on voudra, par la suite.

Pourquoi le schéma de la courbe ne ressemble pas à une quadratrice horizontale?

Le schéma est fait à partir de l'angle central qui commence à 1/2pi. Normalement, à ce point précis, on ne peut pas voir la quadratrice car c'est son début, étant est à 0°. Alors, ce n'est qu'une simulation que de la voir à partir de cette valeur, en faisant augmenter t virtuellement, alors que le dessin de base est toujours à son point de départ.

Il y a donc une sorte de distorsion, c'est normal. Mais c'est pour montrer le fonctionnement, dynamique. C'est le fond statique qui crée la disproportionnalité. Dans une démonstration réelle, tout serait synchrone, mais je ne sais pas encore comment créer de telles simulations, et puis ça va aussi avec des courbes calculées, ce qui est plus qu'un schéma.

Dans le cadre d'un schéma, la disproportionnalité est normale, car tout n'est pas nécessairement calculé, seulement l'essentiel, comme ici, pour la démonstration. Mais mon algèbre est bonne, et les courbes illustrées peuvent être tracées avec la trigonométrie indiquée. C'est ça qui est important.

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Mise-à-jour, 30 mars 2015


Correction de la localisation de la quadratrice 

La quadratrice va être au 2e quadrant plutôt qu'au premier, mais dans la même position cartésienne qu'elle apparaît dans le dernier dessin, que je ne change pas pour rien, car ce n'est pas grave, juste un petit détail technique à la veille de changer de dessin.

Le tableau du système est maintenant atteint, après cette petite méprise qui m'avait fait placer la courbe au 1er quadrant. Je n'avais pas le bon tableau, à ce moment là, mais j'étais tout près, et je suis dessus, maintenant, exactement.

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Je suis maintenant en mesure, avec ce bon tableau, de faire le schéma du système de la quadratrice, soit au moins 4 angles sur 6, avec la trigonométrie et la goniométrie exacts. Après celà, le traçage des courbes sera plus compréhensible.

Ce sera donc pour les deux prochains articles. Après ça, une extension hyperbolique sur la portée est prévue, et puis plus loin éventuellement.

Il y a aussi la continuité aux autres quadrants. La quadratrice, comme combiné (la fonction principale dans ma géométrie), court sur 4 quadrants, mais n'en remplie que 3, le premier et le dernier se complétant l'un l'autre. Ce serait intéressant de voir la forme, si c'est pareil à ce qu'il y a déjà dans la littérature, sur internet, par exemple. J'ai tous les tableaux pour ce faire, le plus difficile étant le codage de la formule, n'étant pas encore très habitué. Ça me prend un peu de temps. C'est pour ça que je préfère commencer par les schémas, avec les vraies formules, notamment, le lecteur pouvant tracer lui-même les courbes, au besoin, s'il en a l'habileté, en attendant.

On verra aussi une analyse principale de la quadratrice, ses intervalles, points de rencontre, etc.. C'est très vaste, mais je présenterai l'essentiel, pour donner une idée. Dans ma géométrie, une courbe peut être reliée à des milliers, une infinité, d'autres, c'est pour ça que ça peut être très vaste, et extrêmement compliqué, plus on va loin.

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Mise-à-jour, 13 mai 2015

Le système co-variable et la quadratrice

Le système co-variable est une permutation des angles centraux accompagnée d'une inversion de l'ordre. Je l'ai découvert et théorisé ces jours-ci, après une longue recherche sur son fonctionnement, car, même s'il paraissait évidente, logique, il était très difficile à comprendre, dans le cadre du fonctionnement de ma géométrie. 

C'est la deuxième et dernière mécanique virtuelle, avec celle dite permutation, qui est la permutation des variables. Ces deux systèmes sont dits virtuels parce qu'ils tournent normalement, sans blocage, comme la mécanique, mais n'en est pas une. La raison est que le nouvel angle central, dans les 2 cas, tourne au lieu d'être fixe, au départ, ce qui débalance la position des différents éléments dans le cours de la rotation. Ainsi, si on essayait de les comprendre comme des mécaniques, ce serait impossible. D'où le terme de mécanique virtuelle, plus approprié, pour mieux comprendre de quoi on parle.

Il n'y en a que 2 parce que c'est ce que j'ai constaté après avoir théorisé tout l'ensemble des mécaniques possibles avec les mêmes variables, incluant leurs inverses. Il y en a 4, et chacun en a 2 virtuels, ce qui en fait 8 en tout, donc. Autrement dit, chaque système a un permuté et un co-variable. Le sinus, par exemple, comme système mécanique, a un permuté et un co-variable, qui sont ses systèmes virtuels adjoints. Ils tournent comme lui, avec les mêmes éléments, normalement et sans blocage, mais sont différents.

C'est donc dans ce contexte que se situe la quadratrice. C'est un co-variable en guide sinus, mais il ne se fait pas avec le sinus du g, l'angle central secondaire.

Co-variable en cosinus 

Un système en sinus peut aussi avoir comme guide le cosinus de t, sous-radical, ce qu'on appelle le rétro-cosinus anti-mécanique. C'est aussi une mécanique, mais associée à l'algèbre de celle du sinus.

De la même manière, un système co-variable en sinus (celui de g) peut aussi se faire en cosinus. C'est le même principe.

Maintenant, comme la quadratrice est plutôt montée à la hauteur du sinus de g(1+V), un ordre plus haut que V, c'est là qu'il faut comprendre le cosinus co-variable en cause. C'est celui de g(1+V), plutôt que celui de g.

Le rang (Qrt)

Si le rang de l'angle g(1+V) était 1, la trigo de la quadratrice serait la même que celle de cet angle, mais ce n'est pas le cas. Quand un rang est différent de l'unité, un angle central est créé, duquel va dépendre g(1+V), comme fonction contre-combinée.

C'est là que ça bloquait: le contre-combiné n'existait pas au 2e quadrant, n'étant.qu'au 3e. à cet ordre, celui de la quadratrice. Seule la mécanique en cosinus de g(1+V), qui est une tangente au 2e quadrant, fonctionnait, mais je ne savais pas ce que c'était. Je pensais que c'était une autre sorte de mécanique, mais j'en ai essayé de toutes les sortes possibles et rien ne correspondait.

Il ne restait que la mécanique du g qui pourrait être possible, mais je ne savais pas encore exactement comment elle fonctionnait. J'ai donc repris ma recherche de ce côté, pour la théoriser vraiment. Le contre-combiné est bel et bien au 2e quadrant quand g l'est aussi, en cosinus (de l'angle central) au 2e quadrant (qui est une tangente)

Un contre-combiné en cosinus qui est un combiné co-variable en cosinus g

En co-variable, les combinés sont exactement les mêmes que ceux de la mécanique, mais interchangés: le combiné de la mécanique est le contre-combiné co-variable, et son contre-combiné le combiné de l'autre. C'est pourquoi la quadratrice est un combiné, parce qu'il correspond au contre-combiné de la mécanique en cosinus au 2e quadrant, en tant que modèle (non celui actuel).

Mais là s'arrête la ressemblance entre le co-variable et la mécanique: leurs permutés sont différents, eux. Ce n'est donc pas une sorte de symétrie quelconque, mais bien 2 systèmes tout à fait différents. Chacun a son architecture propre.

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C'est compliqué, mais j'essaie seulement d'expliquer un peu dans quel contexte se situe la quadratrice. C'est vraiment dans un système qui se situe très loin en géométrie. Pas facile à comprendre, même pour moi, qui vient tout juste de le découvrir.

Le dessin

Sur le dessin de la Correction du 4 mars, j'ai rajouté, en rouge, l'angle central de la quadratrice:
g(1+V) Qrt covar cos - l
qui signifie:
guide de g(1+V) au rang Qrt dans le système co-variable en cosinus. Le "- l" indique qu'il est au deuxième quadrant, l signifiant 1/4, 90° en fraction: l'angle sur 2 quadrants - 90°.

Ce nom est dérivé de g(1+V) parce que celui-ci est son combiné. Les vrais noms de chacun sont différents mais signifient la même chose. Ils impliquent une trigonométrie compliquée, plus précise mais moins à propos ici, où on procède à l'envers: d'un angle qui serait un combiné, de quel angle central dépend-il? C'est pour ça que le nom de cet angle central en est dérivé.

Le petit rectangle en beige indique le prolongement requis, depuis le point de la quadratrice, pour l'atteindre. On voit que le guide est maintenant la tangente (le cosinus au 2e quadrant), le poteau devant l'angle par rapport à 1, plutôt que la sécante (sinus au 2e quadrant), comme je le pensais auparavant et qui ne fonctionnait pas.

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L'architecture de la quadratrice dépend donc de cet angle central co-variable, où elle est le combiné, d'où on pourra tirer tous les autres, l'angle central secondaire, le contre-combiné, l'ordre et le contre-asymptote, tous propres à ce système, celui de la quadratrice. C'est ce que nous verrons dans un autre article, avec un nouveau dessin.